La publication de mon livre Koï est à la fois un acte photographique artistique de création mais aussi une démarche plus personnelle orientée vers une forme de spiritualité que je revendique.
Au Japon, le spirituel (religions bouddhiste et shintoïste), l'art et l'artisanat ne sont pas aussi séparés que notre culture occidentale.
Aujourd'hui, j'ai la chance de participer à la revue Métanoïa (Numéro 177). En effet, Yves Moatty qui s'en occupe, m'a invité le mois dernier à l'occasion de la sortie de mon livre Koï a y présenter mon travail sur l'esthétique japonaise des carpes Koï (Gratitude à lui pour cela et également pour avoir été en plus mon professeur de Zazen il y a 30 ans sur l'Ile de la Réunion !!!).
Extrait de la page 103
Cette revue est faite d'étude de textes anciens, de témoignages, d'articles de réflexions bien sûr mais aussi de beaucoup de poésie et d'esthétique.
Pour conclure, un petit rappel "spirituel" du maître Nisar, j'aime beaucoup cette citation reprise dans ce numéro de Métanoïa :
"J’ai pleuré en naissant et je mourrai en riant..." Nisargadatta
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